Préjugé | l'Encyclopédie Canadienne

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    Identité ethnique

    Dans bien des cas, un groupe ethnique est une catégorie distincte de population qui possède, en général, une culture différente au sein d'une société plus vaste. Il y a 2500 ans, Hérodote relève l'existence de groupes culturels et ethniques distincts.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/18cb2651-a7b3-4a3a-a37d-9412e437017d.jpg Identité ethnique
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    Indien

    Le terme « Indien » est désormais considéré comme obsolète et offensant; toutefois, on y a historiquement eu recours pour désigner les peuples autochtones en Amérique du Sud, centrale et du Nord. Au Canada, ce terme est la plupart du temps utilisé pour faire référence à des identités définies par la loi.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/174cee51-4aca-4a67-ac60-f72697d35862.jpg Indien
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    Interdiction du potlatch

    De 1885 à 1951, la cérémonie autochtone appelée potlatch a été interdite par le gouvernement fédéral du Canada. Pour justifier la prohibition, le gouvernement a invoqué que le potlatch nuisait à l’assimilation des peuples autochtones. Aujourd’hui, cette interdiction est reconnue comme une forme de génocide culturel (voir Génocide et peuples autochtones au Canada). Bien que le potlatch ait été illégal durant toute cette période, l’interdiction n’a été appliquée que sporadiquement. La raison de cet état de fait est que la formulation originale de la loi était trop vague. Par la suite, la loi a été réécrite et le nombre d’accusations a augmenté. En 1922, les agents des Indiens, aidés de la police, ont arrêté les participants d’un potlatch dans la communauté de ʼMimkwa̱mlis. Quarante-cinq personnes ont été appréhendées. L’affaire s’est soldée par des peines d’emprisonnement et la confiscation de plusieurs centaines d’objets cérémoniels de grande valeur.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f2fed9a9-c6dc-429a-80cd-98e6c7825449.jpg Interdiction du potlatch
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    Internement au Canada

    L’internement est le confinement ou la détention forcés d’une personne en temps de guerre. Des opérations d’internement à grande échelle sont menées par le gouvernement canadien au cours de la Première et de la Deuxième Guerres mondiales. Dans les deux cas, la Loi sur les mesures de guerre est invoquée; celle-ci donne au gouvernement le pouvoir de refuser aux personnes leurs libertés civiles, notamment l’habeas corpus (soit le droit à un procès équitable avant la détention). Les gens sont détenus dans des camps disséminés d’un bout à l’autre du pays. Pendant la Première Guerre mondiale, on interne plus de 8 500 personnes; pendant la Deuxième Guerre mondiale, on en interne jusqu’à 24 000, y compris quelque 21 000 Canadiens d’origine japonaise.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/2913948d-0dc6-4142-807e-5206fce81700.jpg Internement au Canada
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    Internement de la communauté japonaise au Canada

    L’expulsion et le confinement forcés des Canadiens d’origine japonaise pendant la Deuxième Guerre mondiale figurent parmi les événements les plus tragiques de l’histoire canadienne. Près de 21 000 Canadiens d’origine japonaise sont arrêtés dans leurs demeures sur la côte ouest canadienne, sans procès. Dès le 24 février 1942, environ 12 000 d’entre eux sont envoyés vers des régions éloignées de la Colombie-Britannique et ailleurs. Le gouvernement fédéral les prive de leurs propriétés et en pousse un grand nombre à accepter une déportation massive à la fin de la guerre. Ceux qui restent ne sont autorisés à retourner sur la côte ouest que le 1er avril 1949. En 1988, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour la façon dont il a traité les Canadiens japonais. Un dédommagement de 21 000 dollars est également versé à chaque survivant, et plus de 12 millions de dollars sont alloués à un fonds communautaire et à des projets de défense des droits de la personne.Ce texte est l'article intégral sur l'internement de la communauté japonaise au Canada. Si vous souhaitez lire un résumé en langage simple, veuillez consulter : Internement de la communauté japonaise au Canada (résumé en langage simple).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/0bec6156-0467-4a97-909f-da599383381d.jpg Internement de la communauté japonaise au Canada
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    Ku Klux Klan

    Le Ku Klux Klan est une société secrète illégale, raciste et ultraconservatrice dédiée à la suprématie d’une société protestante et anglo-saxonne.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/86b65a64-68c5-41d5-820f-b053a20b76fb.jpg Ku Klux Klan
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    L’amendement de 1969 et la (dé)criminalisation de l’homosexualité

    Des premiers jours de la colonisation jusqu’en 1969, les lois sur la sodomie ont rendu les relations sexuelles entre hommes illégales au Canada. En outre, une loi promulguée en 1892 a rendu illégale la « grossière indécence » entre hommes, qui comprenait tout geste indiquant une attirance envers le même sexe, y compris les simples contacts, la danse et les baisers. En 1953, on a étendu ces lois aux femmes. En 1969, cependant, les lois sur la sodomie et la grossière indécence sont modifiées, rendant de tels actes légaux dans certaines circonstances : les parties prenantes doivent ainsi être âgées de 21 ans ou plus et mener leurs affaires en privé. La sodomie et la grossière indécence sont demeurées illégales à l’extérieur de la maison ou si trois personnes ou plus étaient impliquées ou présentes. Ainsi, le Code criminel du Canada a continué d’assimiler l’homosexualité à un comportement criminel dans de nombreuses circonstances.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6483ddf2-6bee-4d0b-a2b1-142ae795176c.jpg L’amendement de 1969 et la (dé)criminalisation de l’homosexualité
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    Affaire Sir George Williams

    L’affaire Sir George Williams (ou l’émeute raciale de l’Université Sir George Williams) se déroule à l’hiver 1969, alors que plus de 200 étudiants et étudiantes décident d’occuper pacifiquement le 9e étage du pavillon Henry F. Hall de l’Université Sir George Williams à Montréal. Ces étudiants et étudiantes contestent la décision de l’administration universitaire dans le traitement d’une plainte pour racisme déposée plusieurs mois auparavant par six étudiants antillais. Le 11 février 1969, afin de déloger les occupants, la police intervient de manière musclée et les événements dégénèrent, causant des dommages de plus de deux millions de dollars et conduisant à l’arrestation de 97 personnes. L’affaire Sir George Williams est considérée comme l’émeute étudiante la plus importante de l’histoire canadienne. Pour plusieurs observateurs et historiens, elle incarne un moment fort dans la renaissance du militantisme noir à Montréal.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e31f1667-bf31-4052-95c4-22a3da881f96.jpg Affaire Sir George Williams
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    L’antiféminisme au Québec

    ​L’antiféminisme est un contre-mouvement qui s’oppose au mouvement féministe et cherche à faire obstacle à l’émancipation des femmes. Évoluant en fonction des avancées du mouvement féministe, l’antiféminisme québécois se caractérise actuellement par la forme masculiniste.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e46a9a44-231e-4000-8a86-dae26e0d9a25.jpg L’antiféminisme au Québec
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    Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens

    Les pensionnats indiens étaient des écoles religieuses parrainées par le gouvernement et créées dans le but d’assimiler les enfants autochtones à la culture euro-canadienne. Les pensionnats du Nord étaient dirigés par des missionnaires depuis déjà environ un siècle lorsque le gouvernement fédéral commence à ouvrir de nouvelles et soi-disant modernes institutions dans les années 1950. Ces institutions ouvrent leurs portes moins d’une décennie après que le Comité mixte spécial (voir Droit de vote des peuples autochtones) déclare le système inefficace. Les recommandations du comité mènent finalement à la fermeture des pensionnats indiens à travers le pays.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/InuitResidentialSchool/Inuit-Residenital-School (Library and Archives Canada_PA-042133).jpg Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens
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    Les Sino-Canadiens de la Force 136

    La Force 136 est une division du service britannique Special Operations Executive (SOE; Direction des opérations spéciales) pendant la Deuxième Guerre mondiale. Ses missions secrètes, basées dans l’Asie du Sud-Est occupée par les Japonais, visent à soutenir et à entraîner les mouvements de résistance locaux pour saboter les voies de ravitaillement et l’équipement des Japonais. Bien que la Force 136 recrute principalement des Asiatiques du Sud-Est, elle mobilise également environ 150 Sino-Canadiens, desquels on s’attend à ce qu’ils se fondent dans la population locale et parlent la langue commuane. Plus tôt au cours de la guerre, plusieurs de ces hommes avaient offert leurs services au Canada, mais avaient été refusés dans l’armée ou encore enrôlés, puis mis de côté. La Force 136 devient ainsi une occasion pour les Sino-Canadiens de prouver leur courage, leurs habiletés et, surtout, leur loyauté envers le Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/Force136/Force136-India-w-guns.jpg Les Sino-Canadiens de la Force 136
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    Mouvement ex-homosexuel

    Le mouvement ex-homosexuel, auquel on réfère dans la culture populaire par la phrase « pray the gay away » [chasser l’homosexualité à force de prières], est un mouvement à prédominance chrétienne conservatrice qui agit sur toute la planète, mais principalement aux États-Unis, au Canada, en Grande-Bretagne et en Australie.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Mouvement ex-homosexuel
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    We Demand

    We Demand était un document de 13 pages faisant appel à des changements sur les lois et les politiques fédérales discriminatoires concernant les droits des gais, des bisexuels et des lesbiennes du Canada. Le mémoire, qui contenait 10 points, a été présenté au gouvernement fédéral en 1971. Il établissait une stratégie nationale qui a été poursuivie pendant des décennies jusqu’à ce que toutes les demandes soient satisfaites.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/charlie_hill.png We Demand
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    Décret C.P. 1911‑1324, la proposition d’interdiction de l’immigration noire au Canada

    Le décret du Conseil C.P. 1324 a été adopté le 12 août 1911 par le Cabinet du premier ministre sir Wilfrid Laurier. Il visait à interdire à toute personne noire d’entrer au Canada pour une période d’un an parce que « la race noire [...] est considérée comme inadaptée au climat et aux exigences du Canada ». Le décret a constitué le point d’orgue de ce que le chercheur R. Bruce Shepard a appelé « la campagne canadienne du racisme diplomatique ». Bien que ce règlement n’ait jamais été inscrit dans la Loi sur l’immigration , il demeure une indication claire de la volonté du gouvernement d’empêcher l’établissement des Noirs au Canada (voir Immigration).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/9d43e9db-d903-4447-a4a6-ad497d99685f.jpg Décret C.P. 1911‑1324, la proposition d’interdiction de l’immigration noire au Canada
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    Ordre d’Orange au Canada

    L’Ordre d’Orange était une société fraternelle politique et religieuse au Canada. Du début du 19e siècle, ses membres ont fièrement défendu le protestantisme et le lien britannique, tout en s’offrant une aide mutuelle. L’Ordre avait une forte influence en politique, tout particulièrement, à travers le favoritisme au niveau municipal, et est devenu synonyme de sectarisme et d’émeutes.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d5c87930-81f5-4775-8e06-bdef546856e2.jpg Ordre d’Orange au Canada