Éditorial
Le passage du Nord-Ouest : du mythe à la réalité
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Article
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le premier ministre Lester Pearson et John Matheson, un de ses députés libéraux, sont généralement considérés comme les pères du drapeau du Canada. En 2015, leurs noms ont été au cœur des hommages et des commémorations qui marqueront le 50e anniversaire de la création du drapeau. On oublie cependant souvent le rôle joué dans la naissance de ce symbole emblématique par George Stanley.
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Éditorial
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Le 15 février 1965, à l’occasion de centaines de cérémonies similaires au pays et dans le monde entier, on hisse pour la première fois l’Unifolié canadien rouge et blanc. Il fait froid à Ottawa, mais 10 000 personnes sont rassemblées sur la Colline du Parlement enneigée. À midi pile, non loin de là, les canons de la pointe Nepean tonnent, tandis que le soleil perce les nuages. Joseph Secours, un jeune agent de la GRC (26 ans), hisse le drapeau du Canada au sommet d’un mât blanc spécialement dressé et une brise soudaine met la feuille d’érable au garde-à-vous.
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Pour remédier à la situation, les Britanniques commencent la construction d'un nouveau fort dans le but de protéger leurs intérêts. En 1788, ils effectuent un levé terrestre à l'endroit où la rivière Détroit se jette dans le lac Érié.
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Le 19 avril 1904, un incendie ravage 20 acres du centre industriel de Toronto. Au moment où les pompiers parviennent enfin à le maîtriser, l’incendie a détruit au moins 98 immeubles. L’incendie occasionne des pertes de l’ordre de 10 millions de dollars et laisse sans emploi des milliers de personnes. Une personne perd la vie à la suite de l’incendie. Cette catastrophe est connue sous le nom de «grand incendie de Toronto» ou «deuxième grand incendie de Toronto» (le premier grand incendie s’étant produit en 1849). Elle met en évidence le fait que la ville a besoin de se doter de codes de construction plus sûrs et d’un système d’eau à haute pression.
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Éditorial
L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. À la fin du mois d’octobre 1929, la terreur envahit les marchés boursiers de l’Amérique du Nord. La grande fête spéculative du capitalisme, avec le cours galopant de ses actions et ses célèbres millionnaires, est brusquement interrompue. C’est le Grand Krach, comme cet événement a été appelé, qui va être suivi de la Grande Crise.
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Article
Le jour de la Victoire sur le Japon, le 15 août 1945, marque la fin de la guerre dans le Pacifique et, du même coup, de la Deuxième Guerre mondiale. La capitulation du Japon est marquée au Canada par des explosions de joie, dégénérant à quelques endroits en émeutes.
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Article
La Victoire en Europe — et la fin officielle des combats qui s’y sont déroulés dans le cadre de la Deuxième Guerre mondiale — est célébrée le 8 mai 1945, après la capitulation sans condition de l’Allemagne.
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La cinquième province du Canada, le Manitoba, rejoint la Confédération au moment de l’adoption de la Loi sur le Manitoba, le 12 mai 1870. Les Assiniboines, les Dakotas, les Cris et les Dénés ont occupé le territoire pendant 15 000 ans. Depuis 1670, ce territoire faisait partie de la Terre de Rupert et était contrôlé par la Compagnie de la Baie d’Hudson. Le gouvernement canadien a acheté la Terre de Rupert à la demande de William McDougall, père de la Confédération pour le Manitoba. Aucun résident de la région n’a été consulté au sujet du transfert; en réponse, Louis Riel et les Métis ont mené la résistance de la rivière Rouge. Celle-ci a abouti à un accord pour se joindre à la Confédération. Ottawa a accepté d’aider à financer le nouveau gouvernement provincial, de donner environ 1,4 million d’acres de terres aux Métis et d’accorder à la province quatre sièges au Parlement. Cependant, le Canada a mal géré sa promesse de garantir aux Métis leurs droits fonciers. La Résistance du Nord-Ouest qui s’est ensuivie en 1885 a entraîné l’exécution de Riel. La création du Manitoba — qui, contrairement aux quatre premières provinces, ne contrôlait pas ses ressources naturelles — a révélé la volonté d’Ottawa de contrôler le développement de l’Ouest.
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Le Nouveau-Brunswick est devenu l’un des membres fondateurs du Dominion du Canada le 1er juillet 1867. Il a ainsi rejoint la Nouvelle-Écosse, l’Ontario et le Québec dans la Confédération. Arthur Hamilton Gordon, lieutenant-gouverneur du Nouveau-Brunswick, a participé à l’organisation de la Conférence de Charlottetown (du 1er au 9 septembre 1864), où il a été question pour la première fois d’une union fédérale des colonies de l’Amérique du Nord britannique. En 1865, cependant, la majorité de l’Assemblée législative du Nouveau-Brunswick s’y oppose. Cette année-là, Albert Smith a battu le premier ministre pro-Confédération Samuel Tilley lors d’une élection éclair. Les raids des fenians en 1866, toutefois, ont alimenté le sentiment d’insécurité du Nouveau-Brunswick et renforcé le soutien à la Confédération. Après que le parti de Tilley ait remporté une autre élection en 1866, la législature a voté à 38 contre 1 en faveur de la Confédération.
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Boîte à chansons ouverte dans l'est de Montréal en janvier 1965 par Yves Blais et Percival Bloomfield et qui fut avant 1972 le seul établissement du genre au Québec à présenter des auteurs-compositeurs-interprètes sept soirs par semaine.
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Le pillage de York, qui représente une défaite écrasante pour les Britanniques pendant la guerre de 1812, commence au matin du 27 avril 1813. À l'aube, une flottille de 16 navires américains, sous les ordres du commodore Isaac Chauncey, se fraie un chemin jusqu'à la capitale du Haut Canada, YORK [aujourd'hui Toronto]. Les Américains débarquent à l'ouest, anéantissent le petit groupe de guerriers qui défend le rivage et neutralisent les faibles batteries de la ville. Les forces américaines, composées d'environ 1 700 hommes, assument facilement le contrôle. Mal défendu par une garnison insignifiante de 700 soldats et appuyé par une milice peu enthousiaste (presque totalement absente, en fait), le fort est abandonné par le général britannique sir Roger Hale Sheaffe. Il laisse derrière lui deux officiers de la milice locale pour négocier les modalités de la capitulation.
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