Histoire | l'Encyclopédie Canadienne

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    Traité de Longueuil de Murray (1760)

    Le 5septembre 1760, trois jours avant la capitulation de Montréal, le chef des Hurons-Wendats de Lorette, qui a accompagné dans la région de Montréal l’armée française en retraite de Québec, aborde le général James Murray à Longueuil. Un traité de paix, appelé traité de Longueuil de Murray ou simplement traité de Murray, est conclu, en vertu duquel les Hurons-Wendats passent sous la protection britannique.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/32a4e97d-85ed-4182-acd7-1f2fa6862fe7.jpg Traité de Longueuil de Murray (1760)
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    Traité de l'Oregon

    Le Traité de l’Oregon était une entente conclue entre la Grande-Bretagne et les États-Unis. Il est entré en vigueur le 15 juin 1846. Il a officialisé la frontière entre les États-Unis et l’Amérique du Nord britannique à l’ouest des Rocheuses. Il a prolongé la frontière longeant le 49e parallèle, puis l’a fait passer « au milieu » du détroit séparant l’île de Vancouver du continent jusqu’à l’océan Pacifique. Le traité a ainsi résolu un différend important entre les deux nations. Toutefois, comme il ne précisait pas exactement quels canaux la frontière traversait entre l’île de Vancouver et le continent, les deux puissances ont fini par se disputer les îles San Juan. Un conflit diplomatique en a résulté en 1859. Il est connu sous le nom de guerre du cochon.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/OregonTreaty/Vancouver_Island-relief.png Traité de l'Oregon
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    Traité de Paris (1763)

    Le traité de Paris, signé le 10 février 1763, met fin à la guerre de Sept Ans entre la France, la Grande-Bretagne et l’Espagne. Il marque la fin du conflit en Amérique du Nord et jette les bases du Canada actuel. C’est par ce traité que la France cède officiellement la Nouvelle-France aux Britanniques et quitte presque entièrement le continent.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Traité de Paris (1763)
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    Traité de Paris de 1783

    Le traité de Paris a été ratifié le 3 septembre 1783. Il a mis un terme à la Révolution américaine. Il a également établi les limites entre les États-Unis et l’ Amérique du Nord britannique. L’entente a également donné aux États-Unis les terres réservées aux peuples autochtones. Ce transfert a trahi de ce fait les traités et alliances antérieurs entre les Britanniques et les Autochtones.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Traité de Paris de 1783
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    Traité de Penetanguishene (nº 5)

    Le Traité de Penetanguishene de 1798 (également connu sous le nom de Traité no 5 dans le système de numérotation du Haut‑Canada) a été l’une des premières ententes territoriales conclues entre les peuples autochtones et les autorités britanniques au Haut‑Canada (qui deviendra plus tard l’Ontario). Faisant partie d’une série de cessions de terres du Haut‑Canada, il englobe des terres ouvrant sur la baie Georgienne, à l’extrémité nord de la péninsule, là où se trouve aujourd’hui Penetanguishene, ainsi qu’une île dans la baie de cette dernière. L’achat de terres à Penetanguishene permettait aux Britanniques, qui voulaient établir une présence navale sur le lac Huron, de devancer les Américains à ce chapitre. Les Britanniques avaient également compris qu’ils pourraient avoir à évacuer un jour leur poste à Michillimakinac et souhaitaient mettre la main sur un emplacement de substitution.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/PenetangTreaty5.jpg Traité de Penetanguishene (nº 5)
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    Traité de Ryswick

    Le traité de Ryswick (ou Rijswijk), signé en 1697, a mis fin à la guerre de la Ligue d’Augsbourg (aussi appelée guerre de Neuf Ans) opposant la France à la Grande Alliance, qui comprenait l’Angleterre et plusieurs autres pays d’Europe. Sur la scène américaine, où le conflit est appelé Première Guerre intercoloniale, le traité de Ryswick a mis fin à l’affrontement militaire entre les Français et les Anglais et leurs alliés autochtones respectifs. Toutefois, la paix a été de courte durée, les hostilités entre Anglais et Français ayant repris en 1702.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Ryswick.jpg Traité de Ryswick
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    Traité de Versailles

    Le Traité de Versailles est le nom donné au document décrivant les conditions de paix imposées à l'Allemagne par les pays alliés vainqueurs de la Première Guerre mondiale. Le Canada siège séparément à la table de négociation du traité, marquant les premières étapes officielles de son indépendance par rapport à la Grande-Bretagne.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/Categories_Placeholders/LAC/First World War - 3403907.jpg Traité de Versailles
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    Traité de Washington

    Le Traité de Washington, négocié en 1871, entre en vigueur en 1873. Le premier ministre du Canada, sir John A. MACDONALD, est l'un des cinq membres de la commission choisis pour représenter les intérêts de la Grande-Bretagne, mais il a peu d'influence sur les délibérations.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Traité de Washington
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    Traite des fourrures au Canada

    La traite des fourrures est une vaste entreprise commerciale dans l’étendue sauvage et boisée de ce que l’on connaît maintenant comme le Canada. Elle est à son apogée pendant près de 250 ans, des tout premiers débuts du 17e siècle jusqu’au milieu du 19e siècle. Soutenu principalement par le piégeage de castors pour subvenir à la demande européenne de chapeaux de feutre, ce commerce à forte concurrence ouvre les portes de l’exploration et de l’établissement sur le continent, appuie les œuvres missionnaires, établit des liens sociaux, économiques et coloniaux entre les Européens et les Autochtones et joue un rôle déterminant dans la création et le développement du Canada.(Ce texte est l’article complet sur la traite des fourrures. Si vous souhaitez en lire un résumé en termes simples, veuillez consulter : Traite des fourrures au Canada (résumé en termes simples).)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4ec1e55-01c2-4b77-a220-f05a84fd4c9c.jpg Traite des fourrures au Canada
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    Traite des fourrures au Canada

    La traite des fourrures est une vaste entreprise commerciale dans l’étendue sauvage et boisée de ce que l’on connaît maintenant comme le Canada. Elle est à son apogée pendant près de 250 ans, des tout premiers débuts du 17e siècle jusqu’au milieu du 19e siècle. Soutenu principalement par le piégeage de castors pour subvenir à la demande européenne de chapeaux de feutre, ce commerce à forte concurrence ouvre les portes de l’exploration et de l’établissement...

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/e4ec1e55-01c2-4b77-a220-f05a84fd4c9c.jpg Traite des fourrures au Canada
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    Traite des fourrures au Canada (résumé en langage simple)

    La traite des fourrures a débuté au 17e siècle dans ce qui est aujourd’hui le Canada. Elle s’est poursuivie pendant plus de 250 ans. Les Européens commerçaient avec les peuples autochtones pour obtenir des peaux de castor. Cette industrie était alimentée par la forte demande en chapeaux de fourrure en Europe. La traite des fourrures est un des principaux motifs qui ont amené les Européens à explorer et coloniser le Canada. Elle est à l’origine des relations qui se sont établies entre les Européens et les peuples autochtones. (Cet article est un résumé en langage simple de la traite des fourrures. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, veuillez consulter notre article complet: Traite des fourrures au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/article_files/fur-trade/c002771k.jpg Traite des fourrures au Canada (résumé en  langage simple)
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    Réseaux des routes de traite des fourrures

    Durant toute l’époque de la traite des fourrures (du début du 17e jusqu’à la fin du 19e siècle), les cours d’eau ont été les « autoroutes » naturelles des trappeurs des Premières Nations et des négociants en fourrures européens. Des réseaux de cours d’eau reliaient les sociétés autochtones de l’Atlantique, de la vallée du fleuve Saint-Laurent, des Grands Lacs et du bassin de la baie d’Hudson. La géographie hydrique de l’Amérique du Nord a facilité les voyages à l’intérieur du continent, permis l’expansion et la colonisation européenne dans l’Amérique du Nord autochtone et façonné les relations entre Européens et Autochtones dans le contexte de la traite des fourrures. Ce vaste système de rivières, de lacs et de portages sillonnait les territoires autochtones et a été utilisé pendant des générations. Au plus fort de la traite des fourrures, la principale route de canot s’étendait de l’île de Montréal à l’ouest, à travers les Grands Lacs, et de la rive nord-ouest du lac Supérieur, en passant par les hautes terres, jusqu’au bassin de la baie d’Hudson. À partir du bassin du lac Winnipeg, les trappeurs autochtones et les négociants européens se rendaient dans les Prairies de l’Ouest en utilisant les rivières Assiniboine, Qu’Appelle et Souris, et jusqu’au pied des Rocheuses en utilisant les branches nord et sud de la rivière Saskatchewan, pour aboutir dans la région de l’Athabasca en passant par la rivière Sturgeon-weir et le portage La Loche.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/6a52818a-3f78-427a-a201-5e6bc9c5d874.jpg Réseaux des routes de traite des fourrures
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    Traité d'Oswegatchie (1760)

    Le Traité d’Oswegatchie de 1760 a été signé pendant la guerre de Sept Ans et il assurait la neutralité entre les Sept Nations (anciens alliés autochtones des Français) et les Britanniques (voir aussi Traités autochtones au Canada). 

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/813dff7d-8227-4201-9405-43db3b3e98c0.jpg Traité d'Oswegatchie (1760)
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    Traité du canton de London (nº 6)

    Le Traité du canton de London de 1796 (aussi appelé Traité nº 6 dans le système de numérotation du Haut-Canada) est une des premières ententes territoriales signées entre les peuples autochtones et les autorités britanniques du Haut-Canada (Ontario actuel). Il fait partie de toute une série de cessions de terres du Haut-Canada. Le Traité du canton de London concerne un territoire de 12 mi2 (environ 31 km2) situé dans la partie sud-ouest de la colonie. À l’origine, les Britanniques ont acquis ce terrain dans le but d’y établir la capitale de la colonie, mais le choix s’est finalement porté sur York (aujourd’hui Toronto).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/DundasLondonON.jpg Traité du canton de London (nº 6)
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    Traité du flétan

    Le Traité sur le flétan de 1923 (anciennement connu comme la Convention pour la conservation des pêcheries de flétan du Pacifique Nord) était un accord entre le Canada et les États-Unis sur les droits de pêche dans l’océan Pacifique. Il s’agissait du premier traité environnemental visant à conserver les stocks de poissons océaniques. Il s’agissait également du premier traité indépendant négocié et signé par le gouvernement canadien. Il représente l’un des nombreux événements qui ont fait du Canada un État souverain autonome. Il a également marqué un changement d’orientation économique du Canada de la Grande-Bretagne vers les États-Unis dans les années 1920, lorsque les États-Unis ont dépassé la Grande-Bretagne en tant que principal partenaire commercial du Canada. Le traité a créé la Commission internationale du flétan du Pacifique, qui continue de jouer son rôle aujourd’hui. 

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/new_article_images/HalibutTreaty/Pacific_halibut_range_2.png Traité du flétan