LGBTQ2S | l'Encyclopédie Canadienne

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  • Article

    Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ

    Entre les années 1950 et 1990, le gouvernement canadien réagit aux inquiétudes en matière de sécurité nationale générées par les tensions avec l’Union soviétique durant la Guerre froide en espionnant et en dénonçant les personnes suspectées d’appartenir à la communauté LGBTQ et en les éliminant de la fonction publique fédérale. Ces personnes sont présentées comme étant subversives sur les plans social et politique et sont considérées comme des cibles potentielles d’un chantage que pourraient exercer les régimes communistes pour obtenir des renseignements classifiés. Le gouvernement justifie cette stigmatisation en expliquant que les personnes entretenant des relations amoureuses avec des personnes du même sexe souffrent d’une « faiblesse de caractère » et ont nécessairement quelque chose à cacher du fait de leur orientation sexuelle, cette dernière étant non seulement considérée comme un tabou, mais, également, dans certains cas, comme illégale. Dans ce cadre, la GRC mène des enquêtes sur de nombreuses personnes. Plusieurs d’entre elles étant licenciées, rétrogradées ou forcées de démissionner, et ce, même si elles n’ont aucun accès à des renseignements de sécurité. Ces mesures sont prises sans que le public en ait connaissance afin de prévenir les scandales et de garder le secret sur les opérations de contre‑espionnage. En 2017, le gouvernement fédéral présente des excuses officielles pour ses actions et politiques discriminatoires, ainsi qu’un plan de mesures d’indemnisation de 145 millions de dollars.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/24561e5f-6a40-423a-aae3-8324fa0b339e.jpg Purges dans le service public canadien pendant la guerre froide : le cas des personnes LGBTQ
  • Article

    Raymond Gravel

    ​Raymond Gravel, prêtre, aumônier, théologien et député (né le 4 novembre 1952 à Saint-Damien-de-Brandon, Québec; décédé le 11 août 2014 à Joliette).

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  • Article

    Refugiés LGBTQ+ au Canada

    Les réfugiés de la communauté lesbienne, gaie, bisexuelle, trans et queer (LGBTQ+) sont confrontés à de grands défis lorsqu’ils fuient la persécution subie dans leur pays d’origine et se présentent au Canada en quête de protection. De nombreux pays continuent de criminaliser et de poursuivre les membres de la communauté LGBTQ+. Le Canada s’inscrit comme un leader en matière de reconnaissance des demandes de statut de réfugié des membres de la communauté LGBTQ+ et de réinstallation des réfugiés fuyant la persécution basée sur l’orientation sexuelle ou l’identité de genre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/46a3c4ec-a503-4e72-bba8-c78f5fcd885a.jpg Refugiés LGBTQ+ au Canada
  • Article

    Rupert Raj

    Rupert Raj, activiste transgenre, auteur social trans, ancien psychothérapeute (né le 10 février 1952 à Ottawa, en Ontario). Rupert Raj est un pionnier transgenre qui a consacré sa carrière à la recherche clinique, au counseling, et à la défense de la communauté transgenre. Il a fondé (et cofondé) certains des premiers organismes de défense des droits des personnes transgenres au Canada, incluant la Foundation for the Advancement of Canadian Transsexuals (maintenant dissoute). Rupert Raj a également créé le premier bulletin transsexuel national au Canada, le Gender Review: A FACTual Journal. (Voir aussi Droits des lesbiennes, des gais, des bisexuels et des transgenres au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/rupertraj/rupertrajportrait.jpg Rupert Raj
  • Éditorial

    La vie d’Everett Klippert et son importance

    L'article suivant est un éditorial rédigé par le personnel de l'Encyclopédie canadienne. Ces articles ne sont pas généralement mis à jour. Everett George Klippert a été décrit un jour comme « le plus célèbre homosexuel du Canada » en raison des peines de prison injustes qu’il a dû subir. Son cas a finalement conduit à la dépénalisation de l’homosexualité au Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/d5d0ce81-9f5e-4938-8c53-1fdaee0b6c39.jpg La vie d’Everett Klippert et son importance
  • Article

    Bispiritualité

    La bispiritualité (two-spirit en anglais) est la traduction du terme anishinaabemowin niizh manidoowag, qui réfère aux personnes s’identifiant comme ayant un esprit masculin et un esprit féminin. Le concept est  introduit pour la première fois par l’aînée Myra Laramee. L’activiste Albert McLeod contribue à développer le terme anglais en 1990 pour désigner la communauté lesbienne, gaie, bisexuelle, transgenre et allosexuelle (LGBTQ) autochtone. Le terme « bispirituel » est utilisé par certaines personnes autochtones pour décrire leur identité sexuelle, spirituelle et de genre. (Voir aussi Droits des lesbiennes, des gais, des bisexuels et des transgenres au Canada.)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/ce771970-735f-414b-904a-4d2e0670d563.JPG Bispiritualité