Personnages historiques | l'Encyclopédie Canadienne

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    Obwandiyag (Pontiac)

    Obwandiyag (Pontiac) était un chef odawa (né vers 1720 près de la rivière Detroit, décédé le 20 avril 1769 à Cahokia, dans l’État de l’Illinois). Obwandiyag était le chef d’une coalition informelle de nations autochtones qui s’est opposée au régime britannique lors de ce qu’on appelle la rébellion de Pontiac (de 1763 à 1766). Cette rébellion est considérée par beaucoup comme le précédent historique de mouvements contemporains pour les droits des Autochtones.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f3d5c6d6-8340-49cb-84e9-433b460ee3a5.jpg Obwandiyag (Pontiac)
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    Ordre de Bon Temps

    L'Ordre de Bon Temps est fondé par ​Samuel de Champlain à ​Port-Royal en 1606.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/eae4b142-cd6b-4c86-a303-32da3140b207.jpg Ordre de Bon Temps
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    Odawas

    Les Odawas (ou Outaouais) sont un peuple de langue algonquienne (voir Langues autochtones au Canada) vivant au nord du territoire des Hurons-Wendats à l’époque de l’arrivée des Français dans la région en amont des Grands Lacs. Selon une tradition des Odawas, que partagent les Ojibwés et les Potawatomis, ces trois groupes formaient jadis un seul peuple. La division des Algonquiens de la région supérieure des Grands Lacs semble s’être faite à Michilimackinac, point de rencontre des lacs Huron et Michigan. Les Odawas, ou «les traiteurs», demeurent près de Michilimackinac, tandis que les Potawatomis, «ceux qui font ou entretiennent un feu», vont vers le sud en remontant le lac Michigan et que les Ojibwés, ou «rôti à en être plissé», vont vers Sault Ste. Marie, au nord-ouest.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/7f43d674-3179-4006-afce-5521ddca5b0a.jpg Odawas
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    Outaouais

    Les Outaouais (ou Odawas), sont un peuple de langue algonquienne vivant au nord du territoire des HURONS à l'époque de l'arrivée des Français dans la région en amont des Grands Lacs.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Outaouais
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    Perspectives autochtones sur la traite des fourrures

    Les peuples autochtones au Canada ont joué un rôle essentiel dans la traite des fourrures du début du 17e siècle au milieu du 19e siècle. Ils fournissaient des fourrures d’animaux, dont les très recherchées peaux de castor, aux commerçants européens qui, à leur tour, leur offraient des articles manufacturés tels que des récipients de cuisson, des perles, des textiles et des armes. Bien que certains historiens aient par le passé présenté la traite des fourrures comme un échange commercial essentiellement inégal, elle était menée selon les coutumes et principes des Premières Nations, et a permis de créer des liens très proches avec des étrangers et parfois même de transformer des ennemis en alliés. Lorsque les commerçants européens arrivent en Amérique du Nord, ils entrent dans un territoire autochtone, où les conditions sont fixées par les Autochtones, et ne réalisent leurs déplacements et leur commerce qu’avec la coopération et la bonne volonté des Premières Nations. Les peuples autochtones enseignent aux nouveaux arrivants européens les comportements à adopter dans la traite de la fourrure, en soulignant l’importance des cadeaux, de la réciprocité et des obligations familiales. Du point de vue autochtone, la traite des fourrures est donc autant une affaire de famille, de coopération et de réciprocité qu’une activité commerciale et d’échange.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/IPFurTrade.jpg Perspectives autochtones sur la traite des fourrures
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    Jerry Potts

    Jerry Potts, ou Ky-yo-kosi, qui signifie « Enfant de l'Ours », éclaireur, guide et interprète (Fort McKenzie, É.-U., 1840 -- Fort Macleod, Alb., 14 juill. 1896).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/JerryPotts.jpg Jerry Potts
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    Sheila Na Geira

    Selon la légende, Sheila Na Geira (également orthographiée NaGeira et Nagira) était une aristocrate ou princesse irlandaise qui, il y a 300 ou 400 ans, alors qu’elle voyageait entre la France et l’Irlande, a été capturée par un navire de guerre néerlandais, puis sauvée par des corsaires britanniques. Elle est tombée amoureuse et a épousé l’un des corsaires, le lieutenant Gilbert Pike. Ils se sont installés à l’ouest de la baie de la Conception. Au début du 20e siècle, la légende était racontée dans le cadre de la tradition orale de Terre-Neuve et a depuis été popularisée par des poèmes, des romans, des articles scientifiques et plusieurs pièces de théâtre.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/dreamstime_resize_33120989-2.jpg Sheila Na Geira
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    Récollets

    Les récollets, branche réformée de la famille franciscaine, s'établissent en France à la fin du XVIe siècle. Leur objectif principal est d'observer plus strictement la règle de saint François. Comme d'autres branches semi-autonomes, ils relèvent du ministre général des franciscains.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Récollets
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    Relations des Jésuites

    Les Relations des Jésuites représentent l’ensemble des rapports annuels envoyés en France entre 1632 et 1672, rédigés par les missionnaires jésuites au Canada. Ces écrits constituent une source historique importante sur l’ensemble des événements survenus dans la colonie pendant cette période. Ils précisent notamment le rôle central joué par les membres de la Compagnie de Jésus dans la colonisation de l’Amérique du Nord. (Voir Peuplement de la Nouvelle-France.) Ces publications sont révélatrices de la vision coloniale de l’époque et décrivent les succès et les échecs des missionnaires dans leurs efforts d’évangélisation des Premières Nations. Imprimées et distribuées à Paris, notamment à des fins de propagande, les Relations des Jésuites sont très populaires auprès des amateurs et amatrices de littérature de voyage. Elles constituent toujours aujourd’hui un ouvrage unique auquel se référer sur les premiers temps de la Nouvelle-France.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/1ab35d09-0c75-441b-b37e-15cacbc481d7.jpg Relations des Jésuites
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    Saints

    Les premiers Nord-Américains canonisés par l'Église catholique (29 juin 1930) sont les cinq jésuites (Jean de BRÉBEUF, Noël Chabanel, Antoine Daniel, Charles Garnier et Gabriel Lalemant) tués par les Iroquois pendant les guerres de tribus se déroulant en Huronie dans les années 1640.

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    Shawnadithit

    Shawnadithit (également connue sous le nom Nance ou Nancy April), archiviste de l’histoire et de la culture des Béothuks (née vers 1800-1806 dans ce qui est aujourd’hui Terre-Neuve-et-Labrador; décédée le 6 juin 1829 à St. John’s, à Terre-Neuve-et-Labrador). Shawnadithit a été capturée par des fourreurs anglais en 1823 et a ensuite travaillé comme gouvernante pour le marchand John Peyton Jr. En 1828, elle est amenée au marchand et naturaliste écossais William Cormack, qui voulait consigner des informations sur la langue et les coutumes des Béothuks. Shawnadithit a dessiné des cartes du territoire des Béothuks et des articles de la culture matérielle des Béothuks. Bien que le fait que Shawnadithit aurait été la dernière des Béothuks soit de croyance populaire, les histoires orales micmaques réfutent cette théorie. Elles soutiennent que les gens du peuple de Shawnadithit se sont mariés avec des peuples autochtones de l’intérieur des terres après avoir fui leurs propres terres natales. L’héritage de Shawnadithit en tant qu’importante gardienne des archives de l’histoire et de la culture des Béothuks demeure incontesté. En 2007, le gouvernement fédéral a annoncé le dévoilement d’une plaque de la Commission des lieux et monuments historiques du Canada reconnaissant l’importance de Shawnadithit dans l’histoire du Canada.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/5a96371d-c37d-49fd-a6da-ab62b28474d0.jpg Shawnadithit
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    Sam Steele

    Sir Samuel Benfiled Steele, C.B., KCMG, policier à cheval et militaire (né le 5 janvier 1848 à Medonte, au Canada-Ouest; décédé le 30 janvier 1919 à Londres, en Angleterre). En tant que membre de la Police à cheval du Nord-Ouest, Sam Steele a joué un rôle important en ce qui a trait à la signature du Traité no 6 et du Traité no 7, à la construction du Chemin de fer du Canadien Pacifique, à la rébellion du Nord-Ouest et à la ruée vers l’or du Klondike. Il a commencé sa carrière militaire à titre de soldat durant l’expédition de la rivière Rouge. Il a également été officier commandant du Lord Strathcona’s Horse pendant la guerre des Boers et a participé, comme major-général, à la Première Guerre mondiale.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/a64c2753-6c2c-4abe-a75b-d9e9202495e4.jpg Sam Steele
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    Sulpiciens

    La société influent des Sulpiciens fonde le Séminaire de Montréal en 1657 et dessert l'église paroissiale de Notre-Dame (Archives natinales de France; photo des Biblioth\u00e8que et Archives Canada, \u00e0 Ottawa). Sulpiciens Les Sulpiciens forment une société de prêtres diocésains fondée à Paris en 1641 par Jean-Jacques Olier de Verneuil afin de mettre en oeuvre les décisions du concile de Trente (1545-1563) sur la formation du clergé diocésain. La première fondation est le Séminaire de Saint-Sulpice,...

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/527550b3-ca52-4894-b607-e161360c35fb.jpg Sulpiciens
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    Marie-Madeleine Jarret de Verchères

    Marie-Madeleine Jarret de Verchères (née le 3 mars1678 à Verchères, au Québec; décédée en août 1747 à Sainte-Anne-de-la-Pérade, au Québec). Elle est mieux connue pour le rôle qu’elle a joué dans la défense du fort Verchères, en Nouvelle-France, en 1692. On se souvient d’elle comme étant une héroïne militaire, et son image est utilisée pour recruter des femmes canadiennes pendant les Première et Deuxième Guerres mondiales.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/MadeleinedeVercheres/Madelaine-2.JPG Marie-Madeleine Jarret de Verchères
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    Peter Vasilevich Verigin

    Peter Vasilevich Verigin, chef doukhobor (né en 1859 à Slavianka, en Russie; décédé en octobre 1924 près de Grand Forks, en Colombie-Britannique). Après avoir été exilé dans une région éloignée de Russie, Peter Verigin a immigré au Canada en 1902 et est devenu un leader doukhobor puissant et controversé dans l’ouest du pays. Il a perdu la vie quand le train dans lequel il voyageait a explosé, conduisant certains à croire qu’il s’agit d’un assassinat.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/PeterVeregin.jpg Peter Vasilevich Verigin