Histoire/Personnages historiques | l'Encyclopédie Canadienne

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    Palliser, Hugh

    Hugh Palliser, officier de marine et gouverneur de Terre-Neuve (Kirk Deighton, Angl., 26 févr. 1722/23 -- Chalfont St. Giles, Angl., 19 mars 1796). Il est officier de marine au siège de Québec en 1759, et est nommé gouverneur de Terre-Neuve en 1764.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Palliser, Hugh
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    Peter Bostonais Pangman

    Peter (ou Pierre) Bostonais Pangman, chef métis, chasseur de bison (né le 20 octobre 1791 dans la région de la vallée de la rivière Saskatchewan Nord, aujourd’hui en Alberta; décédé le 4 mars 1850 à St. François Xavier, aujourd’hui au Manitoba). Peter Bostonais Pangman est un habile chasseur qui aide à approvisionner en viande de bison la colonie de la rivière Rouge. Il joue un rôle actif dans les guerres du pemmican et les événements entourant la bataille de la Grenouillère. Dans le cadre de la traite des fourrures à Pembina, Peter Bostonais Pangman est un personnage central qui rallie et inspire les Métis de la vallée de la rivière Rouge à se percevoir et à s’exprimer avec une identité distincte des peuples autochtones voisins. Le nom Bostonais s’écrit aussi Bastonnais et Bostonnais.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Peter Bostonais Pangman
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    Irene Parlby

    Mary Irene Parlby (née Marryat), députée provinciale de l’Alberta (1921-1935), défenseure des droits des femmes et activiste (née le 9 janvier 1868 à Londres, au Royaume-Uni; décédée le 12 juillet 1965 à Red Deer, en Alberta). Irene Parlby a été membre de l’Assemblée législative de l’Alberta pendant 14 ans. Elle a été la première femme de l’Alberta à être nommée à un poste de Cabinet, et la seconde dans tout l’Empire britannique. Faisant partie des « Cinq femmes célèbres » appelantes dans l’affaire « personne », Irene Parlby était une ardente défenseure des droits des femmes. Elle était connue sous le surnom « ministre des femmes », et sa carrière de militante et de législatrice a été consacrée à améliorer la qualité de vie des femmes rurales et des enfants, notamment avec la Dower Act de l’Alberta de 1917. Elle a également été déléguée à la Société des Nations en 1930. Cependant, elle a été critiquée pour ses opinions sur l’eugénisme et pour son soutien envers la Sexual Sterilization Act de l’Alberta. Elle a été nommée personne d’importance historique nationale en 1966, et sénatrice honoraire en 2009.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/03fc05ba-3419-4203-909e-34b38f6b5376.jpg Irene Parlby
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    Parsons, Robert John

    Robert John Parsons, journaliste et homme politique (Harbour Grace, T.-N., v. 1802 -- St. John's, 20 juin 1883). En 1833, avec William Carson et d'autres libéraux de Terre-Neuve, il fonde l'hebdomadaire Newfoundland Patriot et en devient le propriétaire et le rédacteur en chef en 1840.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Parsons, Robert John
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    Patriotes

      Nom donné à partir de 1827 au PARTI CANADIEN et au mouvement populaire qui aboutit aux RÉBELLIONS DE 1837 et de 1838. Ce parti, dirigé surtout par des membres des professions libérales et par des petits commerçants, trouve un large appui chez les agriculteurs, les journaliers et les artisans.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/24c5665d-60e0-424c-86f4-96cf5b7d75c1.jpg Patriotes
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    Walter Patterson

    Walter Patterson, officier militaire, propriétaire foncier, premier gouverneur britannique de l’Île Saint-Jean (Île-du-Prince-Édouard), (né vers 1735 près de Rathmelton, comté de Donegal, Irlande; mort le 6 septembre 1798 à Londres, Angleterre). Walter Patterson a servi dans l’armée britannique durant la guerre de Sept Ans. En 1770, il a été assermenté en tant que premier gouverneur britannique de l’île Saint-Jean (renommée Île-du-Prince-Édouard en 1799). Son mandat de gouverneur a été marqué par la spéculation foncière et les troubles politiques.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/WalterPatterson.jpg Walter Patterson
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    Pauline Johnson (Tekahionwake)

    Emily Pauline Johnson (ou Tekahionwake, « double wampum »), poétesse, écrivaine, artiste et interprète (née le 10 mars 1861 dans la réserve des Six Nations, au Canada-Ouest; décédée le 7 mars 1913 à Vancouver, en Colombie-Britannique). Pauline Johnson compte parmi les artistes nord-américains les plus remarquables de la fin du 19e siècle. Cette écrivaine douée et oratrice éloquente d’origine mohawk et européenne poursuit de nombreuses tournées et captive les auditoires par son immense talent pour l’art dramatique. Pauline Johnson contribue largement aux cultures autochtone et canadienne, à l’oral comme à l’écrit. Elle s’inscrit au rang des personnes d’importance historique nationale et la maison où elle a grandi est aujourd’hui un musée et un lieu historique national. Dans le parc Stanley à Vancouver, un monument rend hommage à ses ouvrages et au patrimoine qu’ils représentent. En 2016, Pauline Johnson figure parmi les 12 Canadiennes retenues à l’un des stades de la sélection du personnage emblématique féminin à mettre en vedette sur un billet de banque (voir Les femmes sur les billets de banque canadiens).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/4c5ce9f8-0ef1-4a75-aa7a-f2f892483bde.jpg Pauline Johnson (Tekahionwake)
  • Article

    Pensionnats indiens au Canada (résumé en langage simple)

    Au début des années 1600, les religieuses et prêtres catholiques établissent les premiers pensionnats indiens au Canada (voir aussi Indien). En 1883, ces institutions commencent à recevoir du financement de la part du gouvernement fédéral. Cette même année, le gouvernement du Canada autorise officiellement la création du système des pensionnats indiens. L’objectif principal de ce système est d’assimiler les enfants autochtones à la société chrétienne blanche. (Voir aussi Les expériences des Inuits dans les pensionnats indiens et Les expériences des Métis dans les pensionnats indiens.) (Cet article est un résumé en langage simple de l’histoire des pensionnats indiens. Si vous souhaitez approfondir le sujet, veuillez consulter notre article intégral, Pensionnats indiens au Canada)

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/8d3d94d2-cb82-47ad-97a5-a70b351c44e4.jpg Pensionnats indiens au Canada (résumé en langage simple)
  • Extrait

    Personnes en marge de l’explosion d’Halifax

    Au début du 20e siècle, la plupart des résidents du nord d’Halifax se perçoivent comme étant collectivement désavantagés comparés aux plus riches vivant au sud d’Halifax. Cependant, dans le secteur nord, certains groupes – surtout les minorités raciales, les personnes âgées, les immigrants non britanniques, les soldats et les femmes célibataires avec des enfants – sont particulièrement vulnérables. Ces personnes sont les plus durement touchées par l’explosion d’Halifax de 1917.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/aa48ac21-9af9-44b9-b9de-8e6234022abd.jpg Personnes en marge de l’explosion d’Halifax
  • Article

    Pères de la Confédération

    Quelque 36 hommes sont habituellement considérés comme étant les Pères de la Confédération. Ceux-ci ont représenté les colonies de l’Amérique du Nord britannique lors d’au moins une des conférences qui ont mené à la Confédération et à la création du Dominion du Canada le 1er juillet 1867, notamment la Conférence de Charlottetown (septembre 1864), la Conférence de Québec (octobre 1864) et la Conférence de Londres (décembre 1866 à mars 1867). Mis à part les 36 hommes initialement inclus, la question de savoir qui d’autre pourrait recevoir ce titre a fait l’objet de plusieurs débats. La définition peut être étendue de manière à inclure ceux dont la participation s’est avérée essentielle pour la création du Manitoba, le ralliement de la Colombie-Britannique et de Terre-Neuve à la Confédération, et la création du Nunavut (voir aussi Pères de la Confédération : tableau).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/143f8587-f938-4cf1-bdc2-c441d02dc962.jpg Pères de la Confédération
  • Tableaux

    Pères de la Confédération

    Les 36 hommes que l’on considère habituellement comme les Pères de la Confédération sont ceux qui ont représenté les colonies de l’Amérique du Nord britannique lors d’au moins une des conférences qui ont mené à la Confédération le 1er juillet 1867.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/media/media/f8f2bab3-d387-4165-9fbc-617c30019b95.jpg Pères de la Confédération
  • Article

    Aylesworth Bowen Perry

    Aylesworth Bowen Perry, agent de police (Violet, Ont. 21 août 1860 -- Ottawa, 14 févr. 1956).

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/Aylesworth_Bowen_Perry.jpg Aylesworth Bowen Perry
  • Article

    Perspectives autochtones sur la traite des fourrures

    Les peuples autochtones au Canada ont joué un rôle essentiel dans la traite des fourrures du début du 17e siècle au milieu du 19e siècle. Ils fournissaient des fourrures d’animaux, dont les très recherchées peaux de castor, aux commerçants européens qui, à leur tour, leur offraient des articles manufacturés tels que des récipients de cuisson, des perles, des textiles et des armes. Bien que certains historiens aient par le passé présenté la traite des fourrures comme un échange commercial essentiellement inégal, elle était menée selon les coutumes et principes des Premières Nations, et a permis de créer des liens très proches avec des étrangers et parfois même de transformer des ennemis en alliés. Lorsque les commerçants européens arrivent en Amérique du Nord, ils entrent dans un territoire autochtone, où les conditions sont fixées par les Autochtones, et ne réalisent leurs déplacements et leur commerce qu’avec la coopération et la bonne volonté des Premières Nations. Les peuples autochtones enseignent aux nouveaux arrivants européens les comportements à adopter dans la traite de la fourrure, en soulignant l’importance des cadeaux, de la réciprocité et des obligations familiales. Du point de vue autochtone, la traite des fourrures est donc autant une affaire de famille, de coopération et de réciprocité qu’une activité commerciale et d’échange.

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    https://d3d0lqu00lnqvz.cloudfront.net/IPFurTrade.jpg Perspectives autochtones sur la traite des fourrures
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    Peter Fidler

    Peter Fidler, commerçant de fourrures, cartographe et explorateur (Bolsover, Angl., 16 août 1769 -- Fort Dauphin, Man., 17 déc. 1822).

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Peter Fidler
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    Peter Tomkins

    Peter Tomkins Jr., leader métis, organisateur politique et forgeron (né le 1er janvier 1899 dans la réserve Pitikwahanapiwiyin [Poundmaker], en Saskatchewan; décédé en juin 1970 à High Prairie, en Alberta). Il collabore avec Jim Brady et Malcolm Norris pour fonder en 1932 la Métis Association of Alberta (aujourd’hui, la Métis Nation of Alberta) et, en 1939, la Indian Association of Alberta. De par son travail en soins de santé et auprès des établissements métis, Peter Tomkins encourage l’amélioration des conditions de vie pour les Métis d’Alberta et de Saskatchewan. Ses talents de diplomate, de lobbyiste et de négociateur lui permettent de faire adopter en 1938 la première loi se rapportant spécifiquement aux Métis au Canada.

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    https://www.thecanadianencyclopedia.ca/images/tce_placeholder.jpg?v=e9dca980c9bdb3aa11e832e7ea94f5d9 Peter Tomkins